» Elle nous a fait vibrer tout au long de la soirée par sa voix extraordinaire,
sortant du coeur, qui fait rêver. »

La Voix du Nord (20 juin 2012)

C’est après une bonne douzaine d’années de danse que Cécile Macris s’investit
dans une deuxième passion : le chant. Après quelques aventures d’autodidacte
avec un premier trio de reprises de variété française à trois voix, puis des participations
aux concerts de diverses associations caritatives, la jeune femme débute les cours de chant.

Dès le départ, le chant prend pour elle des voies différentes et complémentaires :
le chant classique et la musique actuelle en tant qu’interprète,
mais aussi la chanson française en tant qu’auteure-compositeure-interprète.

« Cécile Macris trace un sillon qui lui est propre, hors des sentiers battus. »

La Voix du Nord (12 avril 2008)

Un parcours atypique

Version classiques, Cécile Macris se prend rapidement d’affection
pour le chant sacré, le baroque et le classique. Plus récemment, elle apprécie les mélodies françaises
et le répertoire plus léger de l’opérette.
Ses débuts sur scène de chant classique ont lieu à l’occasion des Journées du patrimoine
de 2003 : la jeune femme donne un concert de chant et orgue avec Julien Lebesque
et Pierre-Richard Deshays à l’église Saint-Pierre Saint-Paul de Lille.
Puis, en 2004, elle donne un premier récital avec le pianiste Samuel Prete.
En 2009 sort le CD « Souffle de voix« , tiré du premier concert de Cécile Macris avec le quartet de clarinettes
les Sans Prise De Bec (Philippe Davroux, Luc Delozien, Elise Paillart et Nicolas Lepagnot).

Version chanson, Cécile Macris met ses textes en musique et les interprète sur scène dès 2004, et surtout 2005 au festival Plugged-Unplugged de Souchez, avec ses complices Samuel Prete (piano) et Eric Vanquem (guitare, basse). Son premier album, »En vers et contre pieds« , sort en 2007.Influences classiques, jazz, latines ou encore blues et folk… Tout en faisant
la part belle à la musique, l’album se situe résolument versant chanson française, avec des textes très présents…
Cécile Macris est invitée dans diverses émissions de radio et passe en direct sur France 3
Nord Pas-de-Calais Picardie.

Mais encore… Cécile Macris est ouverte à toutes les expériences musicales. Version éclectique, la jeune femme a par exemple enregistré des voix pour des compositeurs de musique électronique. Elle interprète notamment Séléné, dans l’album Hybridian Entités de JHel… Elle a également chanté divers classiques de comédies musicales et de musiques de films avec différentes formations, ainsi que des standards de jazz avec le Music All Jazz de Liévin.

Une formation large et diversifiée

Elève de Julien Lebesque en chant lyrique jusqu’en 2005, Cécile Macris a été récompensée par deux médailles au concours Bellan (Paris, 2002 et 2003), et a également obtenu à deux reprises un premier prix au Grand Concours de la ville de Roubaix (2000 et 2001). Parallèlement, elle suit en 2003-2004 la formation professionnelle dispensée par le Centre des Musiques Actuelles de Valenciennes. La jeune femme se perfectionne ensuite régulièrement à Paris avec Anne-Marie Liénard (2006-2010).

Version Chant et sons… Durant cette période, elle met également à profit les enseignements de Serge Wilfart, inventeur de la Pneumaphonie (technique basée sur le lien souffle-voix), avec lequel elle travaille en 2006 et 2007. Formée à la Sonologie (Emmanuel Comte – 2009), Cécile Macris s’intéresse en outre à l’Euphonie vocale (Mireille Marie – 2009), au Yoga du son (Véronique et Denis Fargeot – 2010-2011)
et au Yoga du rire (Ecole internationale du rire – 2011).

En 2011, elle reprend un cursus classique au conservatoire à rayonnement départemental d’Arras, dans la classe de Valérie Chouanière. Elle y obtient en 2013 le Brevet d’Etudes Musicales.

Désormais basée à Bordeaux, Cécile Macris fait partie du choeur baroque Orfeo, dirigé par Françoise Richard. Dans un tout autre registre, elle chante très régulièrement avec le groupe de musique brésilienne Forrozinho…

« La voix de Cécile Macris s’élève dans les airs, laissant le public interloqué.
Le silence s’impose forcément face à ce chant de cristal. »

Fanzic n°3 (mai 2004)

Photos Jean-Louis Gavard, Agnès Béra, William Caristan et Franck Thery